L'article
L’entraide Protestante réfléchit à la crise
16.02.10 - Rencontre bisannuelle le 6 février dans les locaux de l'Assemblée Chrétienne de Meyzieu
Tous les deux ans, la Fédération de l'Entraide Protestante se réunit autour d'un thème. Après «Se préoccuper des autres», «Le défi de la solidarité» et «L'engagement personnel et collectif», le sujet était cette année:Quelle bonne nouvelle dans la crise actuelle?
La rencontre
Difficile de trouver une bonne nouvelle dans la crise! Cyril Kretzschmar (photo), adjoint au maire de Francheville a fait un exposé clair des différentes crises que traversent nos sociétés. De la crise énergétique de 1974 à la crise de 2008 où le transfert des richesses vers les pays émergents a déstabilisé les banques américaines, leurs clients et par ricochet le monde entier, l'impression générale est qu'on est entré dans un état de crise économique permanent.
A cela, s'ajoutent une crise sociale avec un chômage de 8 à 9%, une crise environnementale avec un taux de CO2 en croissance accélérée, une crise éthique et spirituelle avec l'acceptation de déséquilibres moralement inacceptables, 80% des richesses étant accaparées par moins de 3% de la population.
Pas de bonne nouvelle en vue; seule, un nouveau mode d'organisation de la consommation fondé sur la conscience, la justice et la solidarité à l'égard des plus faibles pourrait donner de l'espoir.
(...)La rencontre
Difficile de trouver une bonne nouvelle dans la crise! Cyril Kretzschmar (photo), adjoint au maire de Francheville a fait un exposé clair des différentes crises que traversent nos sociétés. De la crise énergétique de 1974 à la crise de 2008 où le transfert des richesses vers les pays émergents a déstabilisé les banques américaines, leurs clients et par ricochet le monde entier, l'impression générale est qu'on est entré dans un état de crise économique permanent.
A cela, s'ajoutent une crise sociale avec un chômage de 8 à 9%, une crise environnementale avec un taux de CO2 en croissance accélérée, une crise éthique et spirituelle avec l'acceptation de déséquilibres moralement inacceptables, 80% des richesses étant accaparées par moins de 3% de la population.
Pas de bonne nouvelle en vue; seule, un nouveau mode d'organisation de la consommation fondé sur la conscience, la justice et la solidarité à l'égard des plus faibles pourrait donner de l'espoir.
Réactions
Facebook
éditeur

Un site
d'Alliance Presse