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L’engagement au risque du burn-out

© Alliance Presse
Parce qu’«ils travaillent pour Dieu», les chrétiens engagés dans un service ne comptent ni leurs heures, ni leurs forces. Avec le risque accru d’arriver à un état de surmenage ou même de faire un burn-out, qui laisse parfois des traces profondes. Selon la psychiatre Cristina Heierli, l’enjeu est de trouver l’équilibre entre ce que l’on donne et son propre ressourcement.
Sandrine Roulet

Son burn-out, Fabien ne l’a pas vu venir. Chrétien zélé, il accepte d’endosser deux casquettes: celle de gérant d’une librairie chrétienne et celle de missionnaire pour une œuvre engagée auprès de la jeunesse. «Je suis très vite tombé dans l’activisme, pas forcément par orgueil, mais par volonté d’exécuter la masse de travail que je devais gérer», se souvient-t-il.

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