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L’art trash: reflet d’une société à la dérive?

L’expression artistique est indissolub-lement lié au contexte de l’époque et au lieu de sa production. Si l’artiste s’autorise à réveiller le public en lui mettant la réalité sous les yeux, l’art-poubelle est-il juste un reflet de la société elle-même?
Aline Sainton

Le monde de «l’art» ne semble plus connaître de limites. Les artistes filment leurs orgies, se tailladent les veines, se tirent dessus, mangent leur sang en boudin. En 2000, Wim Delvoye crée la Cloaca, machine produisant des excréments et lors de la Biennale de l’Art contemporain centraméricain en 2007, Guillermo Vargas laisse mourir de faim et de soif un chien attaché.

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