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L’aide aux pauvres dans la Bible

Le croyant est censé se soucier de son prochain pauvre Depuis l’exemple de Job au temps des patriarches jusqu’à l’enseignement de Jésus sur l’aumône en passant par les prescriptions de la Loi (dont certaines, comme celles sur le glanage, favorisent une forme de «développement» plutôt que l’assistanat), la Bible considère que les possessions matérielles ou le pouvoir obligent ceux qui les détiennent à faire le bien envers les pauvres et les opprimés. A contrario, négliger le pauvre est sévèrement condamné (cf. un texte peu connu sur Sodome: Éze.16,49-50). --CREDIT-- L’aide aux pauvres reflète l’amour divin dans ce monde déchu Dieu lui-même nous montre le chemin: après la Chute, il promet au premier couple la délivrance et il lui fait des vêtements! Tout au long de l’histoire humaine, il se révèle comme le Dieu qui prend soin des hommes, même de ceux qui ne le connaissent pas et en particulier des pauvres (cf. Ps. 146,6-9; Ac. 14,16-17). En manifestant ainsi sa bonté, il prépare l’annonce de la Bonne Nouvelle. Nous devrions faire le bien en imitant notre Père. Dans un monde déchu qui souffre de toutes les ruptures de relations (avec Dieu, avec le prochain, avec l’environnement) introduites par le péché, on n’échappe pas à la déclaration du Christ: «Vous avez toujours les pauvres avec vous» (Mat. 26,11). Mais en continuant humblement et avec persévérance à nous soucier du bien de notre prochain et en particulier de celui qui a faim, qui est nu ou qui ploie sous le joug de l’injustice, nous manifestons notre espérance dans le Dieu de l’Évangile qui n’a pas abandonné sa Création.
Daniel Hillion

Le croyant est censé se soucier de son prochain pauvre
Depuis l’exemple de Job au temps des patriarches jusqu’à l’enseignement de Jésus sur l’aumône en passant par les prescriptions de la Loi (dont certaines, comme celles sur le glanage, favorisent une forme de «développement» plutôt que l’assistanat), la Bible considère que les possessions matérielles ou le pouvoir obligent ceux qui les détiennent à faire le bien envers les pauvres et les opprimés. A contrario, négliger le pauvre est sévèrement condamné (cf. un texte peu connu sur Sodome: Éze.16,49-50).
–CREDIT–
L’aide aux pauvres reflète l’amour divin dans ce monde déchu
Dieu lui-même nous montre le chemin: après la Chute, il promet au premier couple la délivrance et il lui fait des vêtements! Tout au long de l’histoire humaine, il se révèle comme le Dieu qui prend soin des hommes, même de ceux qui ne le connaissent pas et en particulier des pauvres (cf. Ps. 146,6-9; Ac. 14,16-17). En manifestant ainsi sa bonté, il prépare l’annonce de la Bonne Nouvelle. Nous devrions faire le bien en imitant notre Père.
Dans un monde déchu qui souffre de toutes les ruptures de relations (avec Dieu, avec le prochain, avec l’environnement) introduites par le péché, on n’échappe pas à la déclaration du Christ: «Vous avez toujours les pauvres avec vous» (Mat. 26,11). Mais en continuant humblement et avec persévérance à nous soucier du bien de notre prochain et en particulier de celui qui a faim, qui est nu ou qui ploie sous le joug de l’injustice, nous manifestons notre espérance dans le Dieu de l’Évangile qui n’a pas abandonné sa Création.

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