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Inusable Gil Bernard

Il parle d’Édith (Piaf) et se souvient de Claude (François) comme s’il les avait quittés hier. Il a conservé sa voix rauque et son look de «crooner » de Dieu. À soixante-dix bougies, Gil Bernard, un des précurseurs de la musique chrétienne francophone contemporaine, reprend la route et le micro, le temps d’une tournée exceptionnelle, de septembre à novembre, qui le mènera à travers les contrées suisses : Genève, Yverdon et la Côte aux Fées. --CREDIT-- Dernière ligne droite Le chanteur-compositeur a, dans sa carrière music-hall, partagé le haut de l’affiche avec les plus grands : Dalida, Brel ou Béart. Il entend bien louer encore une fois sur son chemin «Celui qui dans ses mains tient nos vies, nos lendemains et notre salut». S’il admet volontiers aborder à ce jour sa «dernière ligne droite», Gil Bernard n’en demeure pas moins très dynamique sur scène. Il explique : «Depuis plus de quarante ans, chaque année, je tourne en Suisse, pays que j’aime. Un pays au public chrétien encore très engagé». «Les tournées sont très fatigantes à mon âge», explique-t-il, avant de rassurer son public : «Mais la joie demeure toujours plus grande que la fatigue !». C’est donc plein de projets en tête que Gil Bernard, par ailleurs très engagé dans l’oeuvre des «Juifs pour Jésus», aborde les mois à venir.
Céline Schmink

Il parle d’Édith (Piaf) et se souvient de Claude (François) comme s’il les avait quittés hier. Il a conservé sa voix rauque et son look de «crooner » de Dieu. À soixante-dix bougies, Gil Bernard, un des précurseurs de la musique chrétienne francophone contemporaine, reprend la route et le micro, le temps d’une tournée exceptionnelle, de septembre à novembre, qui le mènera à travers les contrées suisses : Genève, Yverdon et la Côte aux Fées.
–CREDIT–
Dernière ligne droite
Le chanteur-compositeur a, dans sa carrière music-hall, partagé le haut de l’affiche avec les plus grands : Dalida, Brel ou Béart. Il entend
bien louer encore une fois sur son chemin «Celui qui dans ses mains tient nos vies, nos lendemains et notre salut». S’il admet volontiers aborder à ce jour sa «dernière ligne droite», Gil Bernard n’en demeure pas moins très dynamique sur scène. Il explique : «Depuis plus de quarante ans, chaque année, je tourne en Suisse, pays que j’aime. Un pays au public chrétien encore très engagé». «Les tournées sont très fatigantes à mon âge», explique-t-il, avant de rassurer son public : «Mais la joie demeure toujours plus grande que la fatigue !». C’est donc plein de projets en tête que Gil Bernard, par ailleurs très engagé dans l’oeuvre des «Juifs pour Jésus», aborde les mois à venir.

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