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Il y a cru et le regrette, mais il reste prêt

Eric Gay a accordé du crédit aux prédictions de Claude Ignerski. Il n'en est pas fier, mais s'explique. Découvrez sur ce site les autres articles de notre dossier consacré à la fin des temps.
Christian Willi

»J’avais mis la question de l’enlèvement de l’Eglise de côté depuis la fin des années 70. L’an dernier, lors d’une semaine de jeûne, je suis tombé sur l’ouvrage de Claude Ignerski. Eh oui, j’ai été surpris par les signes des temps que l’auteur avançait». Eric Gay, qui a été directeur des congrès Mission à Lausanne, a cru que l’enlèvement de l’Eglise en septembre de cette année était plausible. Il est allé écouter une conférence de Claude Ignerski. Puis il l’a invité en Suisse pour une conférence et a fait connaître l’ouvrage en Suisse romande.
Même s’il n’a pas embrassé toutes les thèses de l’auteur, notamment en ce qui concerne l’Antichrist, il est évidemment gêné d’avoir »mordu à l’hameçon». Il a vraiment cru qu’il quitterait cette terre au cours du mois de septembre. Il regrette d’avoir entraîné des gens à sa suite et se dit prêt à présenter des excuses aux personnes qui se sont senties flouées. A sa décharge, il indique toutefois qu’il a toujours encouragé ses interlocuteurs à se plonger dans la Parole de Dieu. »Cela voulait dire que je ne pouvais pas garantir les prédictions», précise-t-il. Il n’en demeure pas moins que »l’erreur manifeste est d’avoir prétendu à des preuves irréfutables au lieu de s’en tenir à donner des indices des signes des temps».
Ceci dit, Eric Gay ne regrette pas complètement de s’être laissé interpeller: »Ce qui reste de ces derniers mois, c’est une attente dans mon cœur pour le retour du Christ. Jésus revient bientôt. Les temps avancent.»

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