Divorce: la parole aux enfants
«J’avais huit ans. Ma mère nous a annoncé qu’ils allaient divorcer. On s’est retrouvés à la gare. On a dit au revoir à papa», raconte Gregory, vingt-neuf ans. «C’était il y a quatre ans. Ma mère nous a annoncé qu’elle partait. Le lendemain, elle était loin», explique Maëva*, vingt-quatre ans. Des histoires de vie qu’un nombre croissant d’enfants partagent. Derrière les faits, les sentiments restent douloureux. Nous avons donné la parole à plusieurs «enfants de divorcés», un statut qu’il faut porter mais qui ne recèle aucun fatalisme.
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