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Dieu l’a reprise au bon moment

Aurélia ne devait pas survivre, d’après les médecins. Or elle a vécu jusqu’à l’âge adulte et a inspiré et soutenu ceux qu’elle a côtoyés
Sandrine Roulet

Aurélia s’est éteinte en octobre dernier, à l’âge de vingt-et-un ans. À vues humaines, sa vie terrestre aura été bien courte. Mais Aurélia laisse une trace indélébile dans le cœur de ceux qui l’ont connue. En témoignent les paroles d’un pasteur de son Église: «On saura plus tard le nombre de personnes qui ont tenu bon dans la foi en voyant vivre Aurélia». Au travers de cette jeune fille toute mignonne, mais si fragile et handicapée, plusieurs personnes ont trouvé la foi ou la force de se battre.
À l’âge de sept ans, Aurélia a répondu avec sa spontanéité d’enfant à l’invitation de confier sa vie à Dieu. Malgré les luttes quotidiennes que lui imposait son corps, la fillette puis l’adolescente n’a jamais cessé d’espérer en Dieu. Guérie, elle ne l’a pas été, «mais toute sa vie a été un miracle» atteste sa maman, Dany.

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