Ce verset qui me parle
Marielle, 44 ans: «Je les ferai reposer en sécurité» (Os. 2, 20).
Quelle vie trépidante, que de journées trop remplies et quelle course contre le temps! Une perte d’emploi, une séparation, des difficultés financières, une maladie, tant de choses anxiogènes, déroutantes. Mais la vie ne devrait-elle pas être autre chose que cette gestion du stress? N’est elle pas plus grande, plus belle, plus gracieuse?
Alors que j’étais en train de parler à Dieu de tout ce que j’avais à faire, ce qui me restait à faire et ce que je n’avais pas envie de faire, Dieu mit simplement cette parole sur mon cœur: «Repose-toi sur moi.»
D’une manière douce et puissante, ces quatre mots ensemble et la façon dont Dieu s’est exprimé ont suffi à changer ma manière de voir les choses ainsi que ma disposition de cœur.
André, 77 ans: «L’ange de l’Eternel lui dit: Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu’on ne pourra la compter»
(Ge. 16, 10).
Dans ce passage, Dieu a permis à Agar, qui avait alors été chassée par Abraham suite à la jalousie de Sara, de rester au bénéfice de la promesse divine qui était celle d’avoir une descendance nombreuse.
Ce bref passage me montre que Dieu a créé le méchant pour le jour du malheur, et ce, aujourd’hui encore. Ceci afin que nous apprenions à crier à lui dans la détresse et aussi pour que nous sachions pardonner.
Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui février 2018
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