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Après soixante ans, le combat de Portes Ouvertes reste indispensable pour

© Alliance Presse
Le week-end de Portes Ouvertes a rappelé combien la persécution reste présente aujourd'hui, en particulier en inde.
Claire Bernole

Deux jours pour prier, s’informer, faire un don… rire et pleurer aussi. Le week-end annuel de Portes Ouvertes, qui a soufflé en 2015 ses 60 bougies, s’est déroulé du 31 octobre au 1er novembre à Dammarie-les-Lys, près de Paris. A l’occasion de cet anniversaire, l’ONG a choisi de faire très explicitement écho à son histoire à travers l’intitulé du programme: Vivre le Livre, audace ou folie? L’une des exhortations favorites de frère André, fondateur du mouvement.
Le défi qu’il a relevé à la fin des années 1950 en transportant clandestinement des Bibles au-delà du rideau de fer dans sa fameuse Coccinelle n’a hélas rien perdu de son actualité. Pour témoigner de la situation critique des chrétiens en maints endroits de la planète, plusieurs intervenants sont venus de loin pour s’adresser à un public de 1250 personnes, la journée du dimanche ayant mobilisé la plus grande participation.

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Pour répondre aux violences auxquelles les enfants font face quotidiennement en France, les élus durcissent la loi. Un tour de vis qui n’est cependant pas une formule magique.

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