Skip to content

Animateur de jeunesse: un métier d’avenir

Le besoin dans les Églises est largement connu. La difficulté consiste à mettre sur pied des postes de travail viables. État des lieux en Suisse romande
Natacha Horton

Animateur jeunesse est un ministère que les principaux intéressés qualifient de passionnant. «L’intensité relationnelle et voir les jeunes grandir dans leur foi et s’engager pour Dieu sont de grandes sources de satisfaction», note Rébecca Reymond, responsable de la Commission de Jeunesse Mennonite Suisse (CJMS). Cette activité a son lot de défis : tout d’abord celui de la pertinence. Il faut rejoindre cette tranche d’âge dans qu’elle vit et ce qui la fait vibrer. Pour les Églises, il faut trouver les bonnes personnes et des arrangements financiers qui satisfont les deux parties.
–CREDIT–
Le profil des animateurs est aussi varié qu’il y a de candidats. «Le profil idéal, c’est des compétences bibliques et missiologiques. Bien connaître la Bible et le monde des jeunes à la fois», souligne Pascal Grosjean, ancien animateur jeunesse de la FREE. «Ce ministère demande beaucoup de polyvalence!», note Rébecca
Reymond.

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité