Skip to content

A la chaire, au four et au moulin, les pasteurs à temps partiel

© iStockphoto
Ils portent une charge pastorale tout en exerçant un métier séculier. S’agit-il d’une double vocation ou d’un pis-aller économique? Coup d’œil dans l’intimité de trois pasteurs.
Rachel Gamper

Il saute dans le train de banlieue: une heure de trajet pour atteindre le lycée parisien où il enseigne les sciences physiques au niveau BTS (post-bac). Son premier cours démarre à huit heures et il enchaîne toute la journée jusqu’à dix-huit heures. Il prend ensuite le métro pour se rendre à l’étude du mardi dans son Eglise.
En route, il passe en revue ses notes rédigées le soir précédent, un peu oubliées au fil des expériences en électricité avec ses élèves. Oui, car Albert Xandry occupe un poste dans l’Education nationale tout en étant pasteur. Sa vie est un véritable marathon, heureusement accompagné par «un bon collège d’anciens pour partager la charge».

Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Publicité